Cette société qui m'étouffe
cette société qui m'écrase
Elle me fait vomir et j'pourrai en mourir
J'en perds mon souffle,
j'voudrais qu'on m'écoute,
Sortez moi d'la, sortez moi d'la
j'y survivrai pas
A terre, face à la vérité,
se laisser aller
lâcher prise
abandonner...
Quand on a tout donné même ses tripes sur le carreau
Quand on saigne à coeur ouvert
On voudrait tout arrêter, tout stopper, pouvoir s'épancher,
enfin s'relacher, s'reposer...
Vider le flot de tristesse qui abonde,
le fleuve de doutes qui m'inonde.
Pouvoir laisser couler les larmes,
Baisser les armes.
Crier sa rage,
hurler sa colère, sa tristesse,
appeler comme un SOS
Un cri dans la nuit,
un cri dans l'oubli
Et être au fond si seule, si perdue,
toute dignité disparue
Comme un cadavre oublié un cercueil abandonné
A coeur ouvert je crie ma peine.
cette société qui m'écrase
Elle me fait vomir et j'pourrai en mourir
J'en perds mon souffle,
j'voudrais qu'on m'écoute,
Sortez moi d'la, sortez moi d'la
j'y survivrai pas
A terre, face à la vérité,
se laisser aller
lâcher prise
abandonner...
Quand on a tout donné même ses tripes sur le carreau
Quand on saigne à coeur ouvert
On voudrait tout arrêter, tout stopper, pouvoir s'épancher,
enfin s'relacher, s'reposer...
Vider le flot de tristesse qui abonde,
le fleuve de doutes qui m'inonde.
Pouvoir laisser couler les larmes,
Baisser les armes.
Crier sa rage,
hurler sa colère, sa tristesse,
appeler comme un SOS
Un cri dans la nuit,
un cri dans l'oubli
Et être au fond si seule, si perdue,
toute dignité disparue
Comme un cadavre oublié un cercueil abandonné
A coeur ouvert je crie ma peine.