Bouffi(e)...
Un mot assez laid en lui-même...J'ai rencontré une personne qui se disait un peu bouffie, mais je pense qu'elle ne le méritait pas; elle était harmonieuse comme la courbe d'un dauphin, sensuelle dans son essence de jeune femme épanouie, vivante comme peut l'être un passereau, fraîche comme une baie justeuse; je n'hésiterai pas à dire sincèrement qu'elle illustre et embellit la formule: elle avait de belles rondeurs aus sens le plus mélioratif.
Voilà comment, parti d'un mot exprimant la laideur difforme, je m'interrogeais sur cette femme, aboutissant à un tableau charmant, nul argument (sauf pour quelqu'un ne comprennant pas la beauté qui réside dans le charisme et la vie) ne plaidant en sa défaveur.
Je suis parti du laid, et cela m'a conduit vers le beau; coïncidence, ou réflexe humain...?
En effet, cela m'a ensuite mené plus loin; qu'ai-je cherché en pensant à cela?
Oh, bien sûr, au début je songeais à la discussion que j'avais eue, mais ensuite...? je me suis interrogé quant à la laideur, mais en prenant immédiatement le contrepied, c'est-à-dire en cherchant la beauté: comme si, par réflexe personnel -ou humain- j'avais fui la laideur au plus vite.
C'est une chose à laquelle je n'avais jamais prêté attention, mais il me semble que ce comportement est en fait courant, et que les humains parlant de la laideur s'appuient d'abord sur la beauté, et évitent la laideur, même -et peut-être surtout- en la tournant en dérision...
Cette réflexion m'a d'abord paru stérile, mais finalement, je pense que je vais la garder en mémoire, afin de mieux comprendre ma façon, notre façon, d'observer ce qui nous entoure;
peut-être ne pensons-nous pas: "c'est laid" mais plutôt: "je ne trouve pas cela beau", cherchant à l'instar de notre société moderne,des choses et des gens rentrant dans les canons de la beauté.
Un mot assez laid en lui-même...J'ai rencontré une personne qui se disait un peu bouffie, mais je pense qu'elle ne le méritait pas; elle était harmonieuse comme la courbe d'un dauphin, sensuelle dans son essence de jeune femme épanouie, vivante comme peut l'être un passereau, fraîche comme une baie justeuse; je n'hésiterai pas à dire sincèrement qu'elle illustre et embellit la formule: elle avait de belles rondeurs aus sens le plus mélioratif.
Voilà comment, parti d'un mot exprimant la laideur difforme, je m'interrogeais sur cette femme, aboutissant à un tableau charmant, nul argument (sauf pour quelqu'un ne comprennant pas la beauté qui réside dans le charisme et la vie) ne plaidant en sa défaveur.
Je suis parti du laid, et cela m'a conduit vers le beau; coïncidence, ou réflexe humain...?
En effet, cela m'a ensuite mené plus loin; qu'ai-je cherché en pensant à cela?
Oh, bien sûr, au début je songeais à la discussion que j'avais eue, mais ensuite...? je me suis interrogé quant à la laideur, mais en prenant immédiatement le contrepied, c'est-à-dire en cherchant la beauté: comme si, par réflexe personnel -ou humain- j'avais fui la laideur au plus vite.
C'est une chose à laquelle je n'avais jamais prêté attention, mais il me semble que ce comportement est en fait courant, et que les humains parlant de la laideur s'appuient d'abord sur la beauté, et évitent la laideur, même -et peut-être surtout- en la tournant en dérision...
Cette réflexion m'a d'abord paru stérile, mais finalement, je pense que je vais la garder en mémoire, afin de mieux comprendre ma façon, notre façon, d'observer ce qui nous entoure;
peut-être ne pensons-nous pas: "c'est laid" mais plutôt: "je ne trouve pas cela beau", cherchant à l'instar de notre société moderne,des choses et des gens rentrant dans les canons de la beauté.