Perdu dans des yeux
Respirant les bois verts,
J'erre dans le temps
Et dans un iris je m'égare.
Portes ouvertes vers l'âme,
Ils ne reflètent pas les étoiles,
mais les feuilles ondulantes
D'un esprit plein de vie.
Franchissant le seuil
D'un monde sans repères,
J'atterris sur des mousses
Tapissées de soleil.
Ondulant dans les branches
J'entends le vent murmurer,
Agitant les feuillages
Comme le sang ton coeur.
Respirant les bois verts,
J'erre dans le temps
Et dans un iris je m'égare.
Portes ouvertes vers l'âme,
Ils ne reflètent pas les étoiles,
mais les feuilles ondulantes
D'un esprit plein de vie.
Franchissant le seuil
D'un monde sans repères,
J'atterris sur des mousses
Tapissées de soleil.
Ondulant dans les branches
J'entends le vent murmurer,
Agitant les feuillages
Comme le sang ton coeur.
Pour la dryade